Les réflexions de Jean Levain (Chaville)

Les remparts de Jéricho

 L’orgueilleuse citadelle des Hauts-de-Seine a tremblé sur ses bases mais, faute sans doute d’un nouveau Josué, elle est encore debout. Ces élections cantonales ont montré plusieurs choses. La première, c’est que l’inexpugnable donjon que les héritiers de Charles Pasqua croyaient s’être bâti hors du droit commun de la République, montre de profondes lézardes. La seconde, c’est qu’à Nanterre aussi ce n’est pas une profonde communauté de valeurs qui rassemble la droite mais une simple conjonction d’intérêts. La troisième, c’est que comme il fallait s’y attendre, les hiérarques de Jéricho n’ont prêté aucune attention au bruit des trompettes, couvert par le bruit de leurs disputes.

 

Libye, alibi...ad libitum ?

 Une fois de plus, la voiture sarkozyste fait un tête-à-queue pour repartir à vive allure en direction opposée. Alors que le gouvernement soutenait objectivement les régimes de Ben Ali et de Moubarak et recevait en grande pompe Mouammar Khaddafi au motif officiel de la libération d’infirmières bulgares (mais sans doute pour ne pas se laisser distancer par la concurrence lors d'un retour en grâce international de Khaddafi), il se lance maintenant dans une quasi-guerre visant, en principe, l’intéressé.

 En vingt-quatre heures un mouvement de résistance sympathique certes mais bien moins identifié que ne l’étaient les oppositions démocratiques tunisienne ou égyptienne, s’est vu créditer de l’installation d’une ambassade française à Benghazi, à près de mille kilomètres de la capitale libyenne. Cela revient à anticiper, dans un pays démographiquement clairsemé et encore dominé par un contexte tribal, sur une victoire non seulement politique mais « ethnique » d’une partie de la population. Si elle se réalise grâce à une intervention étrangère massive, ce qui n’a été le cas ni en Tunisie ni en Egypte, quelle sera sa légitimité ?

 Une fois de plus, le constat est clair : comme en Afghanistan, on engage la France, donc la vie de ses soldats et l’argent de ses contribuables, au doigt mouillé et sans l’aval préalable de son parlement ni l’avis motivé de professionnels dans des situations complexes, en faisant confiance à la chance pour s’en sortir, avec l’alibi de retrouver le sens de nos valeurs mais clairement avec la volonté de peser sur les débats de politique intérieure.

 De plus, on s’est mis, comme ailleurs, en situation de tirer les marrons du feu à la place de certains de nos alliés. Au plan militaire et politique ce n’est pas du tout la même chose, en effet, de tirer des missiles de croisière (sans pilote) à partir de plates-formes sous-marines au large de la côte libyenne ou d’envoyer des hommes en mission aérienne au-dessus d’objectifs plus ou moins bien définis dans un pays désertique ou même de faire approcher des bâtiments de surface : les risques sont faibles dans un cas, élevés dans l’autre.

 La maintenance des armes de Khaddafi est peut-être médiocre (encore qu’il suffise d’un seul missile qui marche pour abattre un avion et créer une crise). Mais ses soldats et mercenaires sont, contrairement aux insurgés qui sont des combattants inexpérimentés, en mesure de maitriser des conditions de combat rapproché difficiles, comme on l'a vu au Tchad. D'autre part l’expérience prouve qu’en matière de prise d’otages et d’attentats y compris sur des objectifs civils et d’orchestration internationale, il sait s’y prendre et a de nombreux agents.C’est également un excellent négociateur capable de ridiculiser ses adversaires, théoriques ou réels, comme le prouve l’épisode encore frais de la tente dressée près de l’Elysée…

On est, enfin, ne l’oublions pas, beaucoup plus près de l’Europe, où le chef libyen a su tisser un réseau politique et économique à grand renfort de pétrodollars que ne le sont l’Irak ou l’Afghanistan. Ce serait donc une erreur de sous-estimer les risques potentiels de l’engagement direct dans un état indépendant dirigé par un Khaddafi. Or, l’objectif officiel de la « coalition » n’est pas de le liquider physiquement comme le demandaient les insurgés libyens, il n'est paraît-il que de l’obliger au respect de la démocratie renaissante en Libye et quant à la durabilité d'une politique "droits de l'homme first" avec les sarkozystes, il est permis d'avoir quelques doutes...

 Alors, ici aussi, savons-nous bien ici ce que nous faisons, comment nous le faisons et ne vaut-il pas mieux prendre le conseil de gens vraiment compétents et expérimentés en géostratégie, opérations militaires et diplomatie, en évitant les one-man show vis-à-vis de nos alliés ? Intervention, pourquoi pas, mais pas n’importe comment ! On ne passe pas en vingt-quatre heures, surtout dans l’international, de la complicité affairiste à l’activisme démocratique ou plus exactement présidentiel.

 Et l’idée que la scène internationale serve d’alibi pour requinquer les acteurs du théâtre national doit être résolument combattue, même si elle est ancienne. Ce sont nos intérêts vitaux et ceux de la démocratie qui doivent être défendus à l’extérieur au coût humain et financier le plus faible possible. Il n’y a donc pas de place pour l’amateurisme, l’aventurisme et le spontanéisme dans ce domaine.

Si la politique extérieure est, dans l'esprit de notre Vème République, un « domaine réservé » du Président, il ne s’ensuit pas du tout qu’il doive seul ou avec d'étranges conseillers genre "BHL", décider ad libitum d’un engagement guerrier, comme il semble s’y habituer.

Un chat, est un chat

 Un chat, est un chat

Dans le monde que nous vivons, un évènement chasse l’autre, une information en dépasse une autre, une urgence en évacue une autre. Le zapping est roi. Pourtant, la Nature nous ayant doté d’un ordinateur portable et gratuit appelé cerveau, il ne nous est pas interdit d’essayer d’ordonner ce qui nous est présenté dans notre tête et de raisonner, pour établir ce qui à nos yeux est important, ce qui l’est moins et ce qui ne l’est pas du tout. Pour l’instant, nous sommes en phase citoyenne puisque ce sont les élections et qu’il nous faut voter à nouveau dimanche prochain ou tout au moins prendre parti car ne pas voter, c’est aussi un choix.

 Voter pour quoi et pour qui ? Le QUOI est important car nous votons pour une assemblée d’élus qui décide quoi faire de quelque 5 milliards d’euros d’argent du contribuable. Pour que cette assemblée de 45 élus fonctionne, il lui faut une majorité, un président et une politique qui donne un sens à l’utilisation de cet argent. La loi lui donne certaines missions, elle peut s’en donner d’autres, dans certaines limites. Mais elle ne doit pas seulement fonctionner, grâce au travail de plusieurs milliers de collaborateurs, elle doit aussi bien fonctionner, de façon méthodique, honnête et efficace, donc avec des repères.

 Il appartient donc au citoyen –c’est le sens de ces élections cantonales et particulièrement du deuxième tour, de juger si ces conditions sont remplies. Si elles le sont, on peut conserver leur fauteuil aux élus de la majorité actuelle. Si elles ne le sont pas, il est logique de les renvoyer à leurs autres occupations professionnelles, politiques ou familiales. Un élu local ou territorial n'est pas là, en effet, pour servir son parti ou lui-même, ou se laisser simplement porter par un logo de parti ou un vote protestataire. Il doit- c’est tout au moins notre avis- apporter une valeur ajoutée clairement identifiable pour ses concitoyens. C’est le QUI.

 

De l'incohérence à la cohérence : un chemin à prendre !

« COMME JE LE SENS ! » OU LA NOUVELLE DIPLOMATIE FRANCAISE

De tous temps, la qualité de l’administration française a été une maîtresse carte pour un pays dont l’influence est encore, dans le monde, sur-proportionnelle à son jeu aux plans économique, militaire ou économique. Ce n’est en effet que grâce au niveau de nos écoles et universités, à celui de nos diplomates et de nos experts, à l’originalité de notre système social et juridique, au savoir-faire de l’immense armée de nos techniciens de toute sorte travaillant pour le service public et les entreprises y compris dans les media, que nous pouvons continuer à défendre avec succès nos intérêts et nos valeurs dans le monde.

Chaville et le "92" : oui aux repères, non aux repaires !

 

De Napoléon...à notre canton !

La guerre, disait Napoléon, est un art simple et tout d’exécution.  On pourrait appliquer cet axiome à la politique, prise au sens qui devrait être le sien, c'est-à-dire le combat pour servir le citoyen qui vous a fait confiance au mieux de ses intérêts véritables et au travers des générations.

De fait les élus, pas davantage que les généraux, ne sont pas là pour parader, user quelques discours vaguement historiques ni se consacrer principalement à préparer les campagnes électorales de leur parti voire à régler le cours de leur propre carrière de politiciens professionnels.

S’ils le font cependant, les rues redeviennent sales, les promoteurs font main basse sur la ville, la solidarité, la prospérité et la culture sont négligées au bénéfice de l’égoïsme de classe, des intérêts privés voire d’idéologies douteuses. Pourquoi cela arrive-t-il régulièrement ?

Mais parce que l’art de la démocratie, comme celui de la guerre, est tout d’exécution, justement. Dès lors, si le citoyen vote en fonction de promesses ou d’étiquettes et non d’un examen attentif du comportement des élus ou candidats et de leurs vrais projets, la guerre de la démocratie est perdue d’avance.

A l’approche des élections cantonales, on ne peut que constater que notre ville et notre département sont de frappants exemples de la perte des repères qui frappe aujourd’hui la France comme le 92 et qui caractérise, non la droite en général mais bien le populisme sarkozyste qui en est une dérive dangereuse, car elle pave le chemin à une extrême-droite repeinte grâce au changement de génération, en propageant ses "idées" qui ne sont que des tropismes de bas étage et en leur conférant la respectabilité "gouvernementale".

A Chaville, depuis trois ans, la ville se délite doucement, un phénomène que masque encore la réalisation des projets initiés sous la gouvernance précédente et que l'actuelle s'approprie. Mais certains indices ne trompent pas : voitures abandonnées, rues malpropres, invasion des promoteurs, baisse du niveau de service !

C’est que notre ville n’est plus, semble-t-il, pour sa municipalité qui prône le « développement séparé » des quartiers (apartheid en afrikaans) qu’une simple aubaine immobilière et politicienne. Le surcroît d’impôts se voit donc réinvesti en propagande, « cadeaux » électoralistes ou investissements hasardeux.

Avec le Conseil Général, c’est à une véritable caverne d’Ali-Baba qu’on a affaire. Ce repaire a pour sésame « Sarkozy !». Les responsables ? Tous les élus de droite, bien sûr, car c'est l'ensemble de cette majorité qui est en cause. Seule l’alternance pourrait mettre fin aux abus, tricheries et luttes intestines qui depuis 40 ans prospèrent à Nanterre... et risquent de continuer.

La France, enfin, danse elle aussi sur le même air du Faites ce que je dis, pas ce que je fais, bien dans l’esprit du fameux « S’ils n’ont pas de pain, qu’ils mangent de la brioche ! », le dernier couplet entonné par le primas de l'orchestre étant celui d’une laïcité …confessionnelle !

Que tous ces gens, responsables ou complices des désordres de la France et du 92, prennent garde cependant : un beau jour, eux aussi vont s’entendre dire « Dégagez !» car ils barrent la route à une France juste, efficace et fraternelle. Alors pourquoi ne pas, dans trois semaines, reprendre les bons repères ? 

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Sarkozy, connais pas ! Guillet, connais plus !

La seule chance aujourd'hui pour la candidate* de l’UMP dans notre canton d’être réélue, est d’être aussi transparente que possible, d’éviter toute référence directe au président Sarkozy ou même à  Jean-Jacques GUILLET et de s’en tenir strictement aux généralités de bon ton.

 On en aura quelque idée en lisant sa prose en 3 points :

-         soutenir efficacement le projet de nos communes

-         assurer la cohésion de notre société dans le département

-         assurer la sauvegarde de notre patrimoine et de notre environnement

Qui peut aller là-contre ? Même le candidat de l’extrême-droite pourrait en dire autant ( à part peut-être le point 2, s'il était mis en pratique !).

 Ce qui est intéressant, c’est de mettre ce discours passe-partout en rapport avec les réalités, dans une ville où officie (mais ne vit pas) « son » député, président de l’ UMP départementale, 100% sarkozyste, à qui elle doit son mandat de conseillère générale. (et à ses électeurs bien sûr).

Soutenir le projet de nos communes, est-ce que cela veut dire, pour Chaville, favoriser l’arrivée massive de l’immobilier résidentiel, la suppression de tout projet économique sérieux ou tolérer- alors que c’est la responsabilité du département- une circulation de plus en plus anarchique sur la RD 910 ?

Assurer la cohésion de notre société, est-ce que cela veut dire le développement séparé des quartiers (ça ne s’invente pas !) et le refus d’un vrai centre ville convivial et actif, la suppression de l’aide du Conseil Général aux associations travaillant au logement des démunis, la ridicule et coûteuse politique « sécuritaire » ?

Quant à la sauvegarde de notre patrimoine et de notre environnement, il suffit de contempler l’urbanisme de Boulogne, d’Issy-les-Moulineaux et bientôt de Chaville pour comprendre ce qu’il en est vraiment. Sans doute soutient-elle aussi la liquidation organisée par la mairie de l’Estampe de Chaville, un lieu rare de patrimoine artistique vivant, chassée d’une Académie des Beaux Arts vide depuis 3 ans (cf. article "FEU ROUGE" ci-après).

Si les mots ont encore un sens le discours qui nous est servi, on le voit, est une variante soft du discours sarkozyste où domine le refrain « Faites ce que je dis, pas ce que je fais ».  Mais pour nous quand on s’associe, en votant constamment avec eux, à ceux qui sont responsables du désordre, des abus et d’une fracture sociale grandissante, on est bel est bien co-responsable et l’on doit être co-sanctionné comme tel. Dès lors, de deux choses l’une :

Si cette candidate assume son discours et ses liens politiques, elle doit alors se solidariser avec la majorité sarkozyste départementale. Aux électeurs de juger si cette majorité mérite d'être reconduite, avec les Devedjian, Balkany, Pemezec, Sarkozy Jr., Ollier etc. bref tout le Club des Hauts-de-Seine

Si elle souhaite par contre mieux s'informer des états de service d'un député dont elle est depuis longtemps suppléante pour envisager d’être en cohérence avec les principes qu’elle affiche, il lui suffit de cliquer sur ce lien        

mieux connaître mon député UMP

et de lire en particulier les pages 17 et 18, très explicites, sur un recel qui a fondé la condamnation de Ch.PASQUA.

Nous sommes curieux de voir si elle en tirera les conséquences, c’est-à-dire nous rejoindre dans l’opposition à un système disqualifié par ses pratiques. mais quand on ne veut pas voir, il n'y a pas de danger qu'on voie...

Le document en accès internet n'émane pas, en effet d'une quelconque opposition envieuse, irresponsable et friande d'attaques personnelles mais, sans aucun commentaire, de la Cour de Justice de la République que toute élue investie par l'UMP se devrait de respecter, ne serait-ce que parce qu'elle est majoritairement constituée... d'élus UMP/NC . ___________________________________________________________________________

* Pour ceux qui l’ignoreraient encore, il s’agit de Christiane BARODY-WEISS, députée-suppléante de Jean-Jacques GUILLET et maire de Marnes-la-Coquette,  dont les 1 700 habitants ont un revenu moyen par ménage de quelque 7 000 € (4 000 euros pour les 18 000 Chavillois). Une conseillère générale parfaitement représentative du canton, en somme….pour l’UMP !_____________________________________________________________________________

        FEU ROUGE

Dans cette rubrique, nos interventions pour corriger des points de la gestion chavilloise ou départementale qui nous paraissent criticables et qu'il faudrait selon nous amender.

C'est le rôle d'une opposition démocratique de "mettre le doigt sur la plaie", surtout quand elle a l'impression -partagée par beaucoup- d'avoir affaire à une gestion exclusivement "politique" et non technique, des affaires

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Repas portés des personnes âgées à Chaville :

Il nous revient que ces repas, livrés par le groupe AVENANCE, ne sont plus d'une qualité suffisante. La délégation de services au privé, c'est parfois inévitable ou même utile. Encore faut-il suivre au jour le jour la qualité des prestations et convaincre le forunisseur de travailler correctement. Ce n'est clairement plus le cas. Il faut faire quelque chose, chers collègues de la municipalité !

Circulation dans Sèvres :

C'est devenu une véritable punition pour les Chavillois après une journée de travail ou voulant aller, par exemple...au LIDL, aux Impôts ou à la poste. Comment le Conseil Général s'est-il laissé imposer par le maire du lieu des aménagements qui semblent aberrants voire accidentogènes (stationnement en épi sur une départementale traversante) ? Ici aussi, comme pour la fabuleuse "base nautique" on retrouve un mal endémique du CG 92, la soumission aux intérêts des maires majoritaires, qui va encore s'aggraver avec l'entrée en vigueur de la "réforme" territoriale sarkozyste.

Propreté des rues Chavilloises :

Elle laisse de plus en plus à désirer alors que le contrat signé par GPSO pour les villes est extrêmement coûteux. Il s'agit d'une faute caractérisée de la gestion de droite : on a voulu à l'époque étendre à toutes les communes les contrats-miracles d'Issy-les-Moulineaux qui prévoyaient une "obligation de résultat" du prestataire. Une certitude : c'est beaucoup plus cher. Quant au résultat, on voit ce qu'il en est...toujours le manque de suivi attentif des prestations !Alors, bonjour la future ligne supplémentaires d'impôts sur les ménages pour GPSO ! Comme à Chaville, la Droite avait promis le contraire, bien sûr.

En finir avec l'Estampe de Chaville ?

On se demande pourquoi le Vice-Président à la culture de l'agglomération GPSO (et maire de Chaville ) tient à tuer cette association, l'un des rares (et peut-être le seul) lieux de création artistique de notoriété internationale dans notre canton. Après l'avoir obligée à quitter l'Académie qui reste vide depuis, on lui proposerait ( malgré les promesses mais là, on a l'habitude...) une subvention de 1000 euros ( soit 1 mois du loyer + charges qu'elle est maintenant contrainte de payer à un bailleur privé). Ca, c'est de l'action culturelle ! Evidemment, si on lui rendait les locaux qu'elle occupait sans problèmes, ce serait une mauvaise nouvelle pour les promoteurs qui se pourlèchent les babines devant ce splendide emplacement, jusqu'à présent protégé au POS ! Serait-ce là l'explication ? L'argument budgétaire ne tient pas, la municipalité ne sachant plus comment utiliser l'excès de cash pris aux contribuables ! Quant à l'hypothétique projet d'Hôtel des Métiers d'Art, il coûterait encore plus cher à la Ville...

OK Corral à Nanterre

Si l'UMP/NC garde la majorité au Conseil Général, ça va être chaud ! Entre les amis de Jean-Jacques GUILLET dont la (trop ?) célèbre Isabelle BALKANY et ceux qui restent à Patrick DEVEDJIAN, évincé de l'UMP 92 par GUILLET mais indirectement maintenu à flot semble-t-il par N.SARKOZY, on va tirer à vue dans les couloirs ou sur le barman du Bar Anglais. Comment travailler correctement dans un tel contexte et qui peut prétendre qu'une majorité de centre gauche et de gauche serait pire que celle-là ?

Sans commentaires...

 
Vivez FRANCO-SUISSE, faites partie des 1ers privilégiés...
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 LA MADELEINE

Et pour finir, une petite "madeleine" : suite à une mobilisation exemplaire rassemblant des citoyens et élus de toutes opinions, notre ami Danesh Chintaram, Chavillois d'origine mauricienne, harponné comme sans papiers par la police isséenne, a finalement obtenu sa carte de séjour. Parfaitement bilingue en anglais, il recherche un job dans les secteurs hôtellerie/restauration ou assimilable. Si quelqu'un peut aider cette famille estimée à Chaville...

répondre sur [email protected] qui transmettra