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Elections : Huit simples questions
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Rédigé le jeudi 20 juin 2024 dans Chaville, Intercommunalite, Meudon, Sevres, Societe, Territoires | Lien permanent | Commentaires (0)
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Rédigé le jeudi 26 jan 2017 dans Agir pour Chaville, Culture, Education et enseignement, Ile-de-France, Intercommunalite, Politique, Territoires | Lien permanent | Commentaires (0)
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Que l'électorat ait voulu faire passer un message fort au Chef de l'Etat, c'est indiscutable et après tout, les élections sont le seul moyen de le faire en-dehors de la rue. Mais le hasard du calendrier électoral a voulu que ce soient les élections municipales qui servent de vecteur au mécontentement, alors qu'elles sont en principe destinées à élire celles et ceux qui, sur le terrain, sont là pour assurer en période de crise la solidarité, le développement économique, l'Education laïque pour tous, bref tout ce dont la France a besoin pour se construire et se reconstruire. A noter que les électeurs, dans la plupart des cas, n'ont pas voulu que cet avertissement profite à l'extrême-droite, mais bien à la droite de gouvernement, ainsi sauvée par le gong malgré les affaires qui pleuvaient sur elle et un passé d'échec encore très récent : le cycle politique tend à s'accélérer. En quinze jours l'UMP est passée du statut d'accusée à celui de triomphatrice...
Dans certaines villes, principalement dans les Régions, la droite républicaine pouvait répondre aux conséquences du message en proposant une jeune garde comme élément de changement acceptable, offrir un "coup de neuf". Dans d'autres, comme hélas dans la plupart des villes des Hauts-de-Seine, c'est le club des affairistes, des receleurs voire des voleurs issus du système Pasqua qui a raflé la mise, la conjoncture politique venant en quelque sorte faire un pied de nez au travail de la Justice. Plus que jamais, les "agglos" (GPSO par exemple) se retrouvent à la botte de l'UMP altoséquanaise alors qu'elles gèrent une large partie du quotidien de tous dans des conditions souvent très discutables, faisant naître entre autres un phénomène de résonance fiscale* ; un comble, à l'heure où les mêmes reprochent violemment au gouvernement son matraquage fiscal.
Il n'est que de lire les réactions des uns et des autres pour s'en assurer : à Levallois, le sulfureux couple BALKANY triomphe de façon indécente, à Puteaux Joëlle CECCALDI-RAYNAUD vient de déverser un tomberau de délégations sur la tête de... son propre fils, nommé de facto vice-roi de Puteaux ! Ailleurs bien des caciques de l'UMP compromis ou condamnés dans diverses affaires ont été élus ou réélus au premier tour. Bref, le remugle des Ecuries d'Augias empeste toujours davantage et notre département continue à se "berlusconiser". Un rendu pour un prêté, d'ailleurs, puisque selon Charles PASQUA soi-même (Mémoires, T2), ce sont justement Jean-Jacques GUILLET et William ABITBOL, deux anciens compères en extrême-droite, qui avaient servi de consultants au Cavaliere en prélude à la création de FORZA ITALIA. L'Europe de l'affairisme prospère toujours...et qui se ressemble, s'assemble !
O paradoxe ! Le message populaire, c'est au niveau national que les priorités choisies ne sont pas les bonnes, que le gouvernement juge essentielles des choses qui pour être importantes ne sont pas jugées vitales et que sur ce qui compte d'abord pour l'immense majorité c'est-à-dire l'emploi, le logement et la santé, l'espoir n'est pas encore, ou plus là. Il est aussi que la crédibilité de ceux que l'on est convenu de nommer classe politique s'affaiblit dangereusement, qu'en matière d'éthique le ravalement de façades ne suffit pas et que le mélange des genres entre public et privé est une dangereuse hérésie. Aux dirigeants nationaux d'en tirer les bonnes conclusions...et la bonne action.
Localement par contre, comme chez nous, le vote-message peut aboutir au résultat inverse de celui qu'il recherche : faire régner l'omertà sur des passés douteux ou regarder ailleurs alors que les preuves existent ; empêcher tout développement local, donc toute création d'emplois pérenne avec des arrières-pensées politiciennes ; enrichir les promoteurs sans valeur ajoutée pour la vie locale; appauvrir la population à coup d'impôts et de loyers exorbitants ; oublier la solidarité, qualifiée d'assistanat ; mettre l'Education publique et populaire au piquet en cherchant à favoriser l'école de classe et à asservir le secteur associatif.
On peut toujours se dire que l'on ne fait pas d'omelettes sans casser des oeufs, qu'il faut raisonner globalement etc. Mais on peut aussi penser que c'est se tirer une balle dans le pied que de garantir à des élus que leur passé et leur gestion recommandent de ne pas confirmer dans leurs fonctions, six années supplémentaires pour consolider leurs mauvaises pratiques et asseoir leur pouvoir...ou leur retraite.
Qu'il est donc difficile d'être citoyen !
* Ce que nous désignons ainsi, c'est le fait, par le jeu des attributions de compensation équilibrant les comptes des villes par rapport aux EPCI dont elles font partie, de renvoyer des lignes de fiscalité des ménages vers ces EPCI (Etablissements Publics de Coopération Intercommunale). La fiscalité communale s'en trouve aini artificiellement dégonflée, alors que l'imposition totale du contribuable reste bien évidemmment la même. Ces lignes supplémentaires n'ont aucune raison d'être, dans la mesure où les EPCI devraient, si elles étaient bien gérées, largement s'en sortir avec la fiscalité des entreprises établies sur leur territoire.
Rédigé le lundi 31 mar 2014 dans Actualite, Chaville, Intercommunalite, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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L'Atrium, navire amiral de la flotte culturelle chavilloise
> L'ABC de la culture chavilloise
A, comme Apprécier ; B, comme Baliser ; C, comme Consolider. Telles sont les bases de notre politique culturelle, mise en oeuvre entre 1995 et 2008 et que nous nous proposons de relancer, en y intégrant de nouvelles réalités bien sûr, si nous sommes élus le 30 mars avec nos partenaires Gauche/EELV et centristes/UDI.
Malgré les apparences, cet ABC ne va pas de soi. Héritant en 1995 de l'Atrium qui venait d'être réalisé par la municipalité centriste précédente, il nous fallut faire vivre un équipement intéressant mais complexe et très lourd pour une ville de 19 000 habitants. De plus la droite locale s'obstine depuis toujours à vouloir priver Chaville*, pourtant remarquablement située, de toute ressource économique sous prétexte de "vocation résidentielle", la contraignant ainsi à financer un haut niveau de prestations par la seule imposition des ménages, erreur qui contamine maintenant GPSO, pourtant très riche.
Notons-le au passage, c'est le type même d'une vision court-termiste, politicarde et incohérente. Elle est contraire à notre tradition car des activités ont toujours existé dans la vallée du Rû de Marivel et elle conduit à une dangereuse impasse dans son désir éperdu d'établir une domination partisane en pratiquant la déportation par l'argent des faibles et moyens revenus(prix du logement + impôts + baisse de la solidarité). En effet le deuxième acte de la pièce consiste inévitablement, fautes de ressources suffisantes, à s'écraser sur le butoir fiscal, donc à pratiquer un jour ou l'autre des coupes claires sous prétexte de "bonne gestion" ; en réalité, à supprimer tout ce qui n'est pas privatisable. Or en matière de culture, c'est beaucoup et c'est même l’essentiel : les théatres privés parisiens pratiquant des prix de places élevés ne pourraient survivre sans la subvention municipale...largement financée à Paris par la fiscalité des entreprises .
Mais il y avait aussi le Conservatoire, proportionnellement l'un des plus importants du département, la MJC et de nombreuses activités culturelles associatives comme le Salon Josette-Bossez, l'Académie des Beaux-Arts, le Cercle de Lecture, le théâtre associatif etc.
Nous avons pensé utile d'expliciter ici les bases de notre politique culturelle et leur déclinaison possible sur le terrain chavillois et communautaire, demain comme hier.
1. APPRECIER
Sans rentrer dans les détails car ce qui est fait est fait, rappelons que nous avons, tout en limitant au minimum la charge annuelle de tout cela (quelque 2 millions d'euros par an en budget de fonctionnement c'est-à-dire en dépenses courantes, hors investissements) :
- mis en service et fait tourner à plein régime sans aide extérieure significative l'Atrium, un équipement majeur dans ce département, en y adjoignant le Forum des Savoirs. Nous avons également, pour mieux adapter la proposition culturelle aux jauges respectives des salles, mis en place la coopération SEL/ATRIUM qui depuis ne s'est pas démentie.
- assuré la réinstallation de la MJC en centre ville et favorisé son essor pour qu'elle devienne la MJC de la Vallée attirant un large public, ici aussi sur la base principale de l'effort chavillois
- relancé les activités d'enseignement et d'exposition des Arts plastiques avant que la municipalité sortante ne vienne quasiment asphyxier l'Estampe, l'une des rares activités de création chavilloises de niveau national et même international
- offert à Musiques Tangentes l'opportunité de proposer l'enseignement des musiques modernes aux Chavillois
- avec la création d'Arc-de-Seine en 2003, permis à Chaville de conserver et de développer son remarquable Conservatoire, aujourd'hui une compétence communautaire. Nous avons mis en place au niveau de notre communauté d'agglomération un puissant ensemble de formation musicale, d'échanges et même de production de concerts et de spectacles de danse associant des artistes professionnels et amateurs : une excellente idée, riche d'un potentiel à exploiter. Dans le même esprit, la fondation d'Accords Majeurs a également été une avancée remarquable.
-mis en place une nouvelle proposition culturelle pour l'apprentissage du dessin et de la peinture à la Passerelle des Arts, avec le concours de Rose-Anne PESTRE, ancienne maire-adjointe RPR de la municipalité de Marcel HOULIER.
Bien entendu, tout cela n'a été possible que grâce à la compétence, à l'engagement sans faille et à la créativité des personnels de direction, d'encadrement et d'exécution de nos établissements culturels et de la communauté. Il serait délicat de relever certaines performances plutôt que d'autres. Relevons toutefois les efforts réalisés à l'Atrium pour porter haut la qualité des spectacles mais aussi celle de la gestion, tendre la main aux publics jeunes ou isolés et diversifier son activité. La MJC de la Vallée est de son côté devenue une véritable référence dans le domaine des musiques actuelles en élargissant elle aussi ses publics et elle fait honneur au concept d'éducation populaire. Le Forum des Savoirs est également une réussite. N'oublions pas notre Médiathèque qui malgré des locaux inadaptés a réalisé un magnifique travail qui demande à être poursuivi et enrichi dans des conditions optimisées...Et que personne ne se sente oublié !
Nous avons en 13 ans de 1995 à 2008, pu apprécier la solidité de leur coopération avec des élus eux-mêmes vraiment motivés par la culture et désireux de lui garder sa place éminente dans notre commune et autour de nous. L'élection municipale de 2014 nous offre l'opportunité de relancer cette aventure, avec de nouveaux défis à relever : les populations concernées en apprécient croyons-nous les résultats mais elles doivent aussi savoir que tout cela ne va pas de soi et qu'une grande créativité sera nécessaire pour maintenir et élargir la performance culturelle dans un contexte général en rétractation. Nous aurons besoin de leur soutien.
> Zoom sur une démarche : la MJC de la Vallée et les musiques actuelles
A GAUCHE, le bâtiment actuel et au fond le chantier du futur bâtiment dont le second oeuvre se termine enfin après 6 ans, 2 changements de pied et une explosion du budget. Tant mieux cependant : peut-être aurons-nous le plaisir de l'inaugurer bientôt ?
La démarche de la MJC de la Vallée ne concerne pas seulement sur Chaville mais le 92 dans son ensemble
Elle commence par l'expérimentation d' un projet de diffusion : une programmation de concerts lui permet d’exister auprès d’un public, et d’entrer en contact avec les réseaux locaux et financeurs.
A partir de 2003, la MJC redéfinit son projet musical et met en place un dispositif d’accompagnement pour les musiciens. Elle développe les partenariats avec les différents acteurs musicaux du territoire.
En 2006, elle ouvre son projet vers d’autres formes de spectacles notamment l’improvisation théâtrale et les arts dramatiques.
C’était l’occasion de construire une programmation plus dense et variée vers un large public local et intergénérationnel tel que les « soirées soupes ». Ces soirées proposent un vendredi par mois une programmation alliant vidéo, théâtre, concert autour d’un bol de soupe. Ce concept fait l’unanimité du public chavillois.
Dans ces perspectives d’évolution, la MJC ouvre l’enseignement des musiques actuelles en proposant un programme d’atelier de guitare, basse, batterie en gardant l'esthétique Musique actuelle et Rock.
L’ensemble du projet repose donc sur l’enseignement à la pratique artistique, sur différents dispositifs d’accompagnements (répétitions, résidences d’artistes) et sur la diffusion.
L’ensemble de ces actions se traduit également par une implication plus marquée dans le réseau professionnel des musiques actuelles et d’un travail de reconnaissance institutionnel, par exemple auprès du Conseil Général du 92, ce qui a permis à la structure de rentrer en 2012 dans le nouveau schéma départemental des enseignements artistiques.
En parallèle, elle s'est fédérée avec 5 MJC du département pour faire valoir le travail des pratiques collectives dans l’enseignement des musiques actuelles. Cette démarche répond au fait qu’aujourd’hui les Conservatoires bénéficient de subventions publiques leur permettant de proposer des tarifs abordables (trois fois moins cher que les structures associatives). Un audit a été fait au sein des structures MJC, et un cursus de formation s’est mis en place en direction des animateurs musique des 5 MJC du département.
Bien que ce travail pédagogique renforce le projet Musique Actuelle de la MJC de la Vallée et que le nouvel espace, prévu dès 2006, doive permettre un accroissement de l’activité musicale (studio de répétition, accompagnement, enseignement), ce développement nécessite un accompagnement financier et une reconnaissance du projet auprès des institutions.
Ce type de démarche est illustratif de ce que nous voulons faire à Chaville : laisser se développer les initiatives positives au bénéfice d'un large public- encourager la diversification des sources de soutien par l'intégration dans des schémas plus larges - éviter une concurrence ou une course à l'échalote entre vecteurs culturels et les encourager au contraire à se respecter et à s'épauler dans le cadre d'une saine émulation - une homogénéité de l'effort public est également à rechercher, dans le cadre d'une politique globale et de ce point de vue l'"entrée" en Grand Paris pourrait être une bonne chose : un effort bien réparti a plus de chances d'être pérenne...
Qu'elle se décline à la MJC de la Vallée, dans les Conservatoires, à l'Atrium ou ailleurs, elle mérite d'être encouragée, orientée le cas échéant et complétée par une démarche financière ( par exemple sous la forme d'une société coopérative de type SCIC, alliant collectivité territoriale et partenaires et qui permette le retour sur investissement de l'effort de production ou de gestion culturelle déjà réalisé).
2. BALISER
L'une des clés du futur de la Culture est croyons-nous d'élargir sa définition. La culture n'est pas seulement, comme trop de gens le croient encore en France, un produit de loisir que l'on sert sous forme de films, livres, musées, spectacles vivants ou autres. C'est une intervention constante tout au long de la vie, depuis l'éducation des plus jeunes jusqu'à l'activité des adultes; elle peut se faire par l'éducation, par la participation amateur ou professionnelle, par la diffusion par la création. Mais surtout elle ne se limite pas à la création et à la diffusion artistiques, elle englobe quasiment toute l'activité humaine. C'est à partir de cette base très large qu'il devient possible d'imaginer une culture plus vaste, plus autonome, plus enrichissante et plus impliquée aussi avec l'économie des moyens utilisés.
C'est pourquoi, dans une ville proportionnellement mieux dotée sous cet angle que bien d'autres, il importe de bien définir les vecteurs culturels que nous possédons en propre, ceux que nous partageons avec d'autres acteurs (associatifs ou intercommunaux par exemple) et l'économie des moyens qui s'y appliquera dans un proche avenir, par exemple par la montée en charge du Grand Paris. Il convient aussi de prioriser nos missions par exemple l'élargissement et la démocratisation des publics, la possibilité de rendre notre action culturelle moins dépendante des moyens publics sans pour autant la rendre "marchande", la relance de l'éducation populaire, le renforcement du Forum des savoirs pour le rendre plus universel encore etc.
Ce n'est qu'en associant étroitement nos acteurs culturels, qui ont tous fait leurs preuves, à cette double démarche que nous parviendrons à universaliser l'action culturelle chavilloise et communautaire : comment préparer les enfants d'aujourd'hui à être les publics culturels actifs de demain, comment nous approprier l'économie numérique de la culture ; comment désamorcer le retour toujours menaçant de l'inculture, des préjugés, du matérialisme ; comment donner des moyens à notre univers culturel, si nous ne travaillons pas de façon étroite avec tous les opérateurs ( institutionnels, associatifs, artistes autonomes) mais aussi avec tous les publics au sein d'un Conseil Permanent ? Pour nous, la culture est peut-être l'un des domaines où la participation citoyenne est la plus prometteuse.
De nouveaux champs s'offrent à nous : les cultures non conventionnelles, l'évolution de l'école et du rôle des collectivités territoriales, l'éducation internationale, le rééquilibrage culturel vers les sciences et techniques, la réhabilitation de la philosophie et du spirituel en général, la réflexion sur la vie quotidienne et l'apprentissage de la réflexion critique dans un monde trop souvent dominé par les propagandes. Il faut les travailler ensemble, pour notre plaisir et dans notre intérêt. Un agenda culturel pourrait donc être créé et suivi en commun au sein de ce Conseil Permanent dont il ne faut pas s’effrayer : si chacun travaille en solo, l’optimum ne pourra être réalisé, alors restons groupés !
3. CONSOLIDER
En matière culturelle comme en bien d'autres, la municipalité sortante n'a pour l'essentiel fait que surfer sur ce qui était réalisé en s'en attribuant si possible le mérite surtout vis-à-vis des nouveaux Chavillois ; mais la seule élue ayant véritablement fait avancer les choses reste la conseillère municipale déléguée chargée du Forum des Savoirs, qu'elle a su animer de façon sympathique et ouverte.
Au passif du Vice-Président sortant de GPSO chargé de la Culture (si, si !) et des Sports etc. (et maire sortant de Chaville) il faut par contre inscrire la tentative d'étouffement de l'Estampe de Chaville, la dissolution immédiate de la Société d'Economie Mixte que nous venions de créer pour valoriser financièrement notre savoir-faire en matière de gestion d'équipements culturels (pour des raisons de forme et non de fond d'ailleurs, le maire-sortant ayant développé suite à son passage au Conseil Général une étrange allergie aux SEM ; la SEM 92 Export, discrètement liquidée, y est sans doute pour quelque chose...), le retard inutile et la conduite financièrement fort étrange du projet de reconstruction de la MJC, le frein apporté au développement des associations de culture et l'absence totale d'initiatives concernant le patrimoine chavillois ou la qualité architecturale, sans parler des partenariats internationaux, totalement oubliés eux aussi.
Enfin, suite aux relations plutôt tendues entre les maires sortants de Sèvres et de Chaville, la question du statut juridique de l'ATRIUM n'a, en 6 ans, pas été traitée et il est souhaitable qu'elle le soit.
Il nous faut maintenant consolider ce qui existe
- en recréant de la motivation et du sens aussi bien à GPSO (au titre des équipements culturels et sportifs de compétence communautaire car il n'y a aucune raison de séparer la culture du sport) : pour cela il faut laisser faire nos opérateurs culturels qui sont des gens financièrement responsables tout en les guidant dans l'univers complexe et évolutifs des structures politiques .
- en travaillant en direction de la culture populaire qui concerne non seulement la MJC mais toutes les associations oeuvrant au concept éducatif et culturel et qui respectent le principe de laïcité. Les nouveaux rythmes scolaires en fournissent une excellent occasion, à mettre en liaison avec l'effort déjà fait à l'Atrium en direction des jeunes publics et des familles.
- en créant quelques grands axes partagés avec l'ensemble large de notre communauté culturelle grâce à un Conseil Culturel : International, Interconnaissance des Cultures, Elargissement aux cultures scientifiques et techniques, aux préoccupations environnementales et solidaires. La participation des personnels, des publics et des partenaires au fonctionnement de nos équipements est à encourager par la même occasion. Non pour alourdir ou dé-professionnaliser mais pour mieux faire comprendre les enjeux et les contraintes et éviter les pièges juridiques.
- en travaillant aux solutions financières durables pour le financement de l'action culturelle : il ne s'agit plus seulement de décliner le mot "subvention" à tous les cas mais de trouver ensemble les moyens, grâce à la production, aux partenariats, aux donations privées, à la valorisation des œuvres et des savoir-faire, de donner à tous les acteurs culturels la tranquillité d'esprit nécessaire au succès de leurs efforts en secondant l'effort public. Cela n'empêche nullement, bien entendu, la rigueur budgétaire dont nous avons toujours donné l'exemple dans ce domaine ni une action politique vigoureuse en direction de nos grands partenaires publics et, le cas échéant, privés.
- en dégageant l'horizon culturel du côté de GPSO, du Conseil Général, de la Région, du Grand Paris et de l'Etat pour inscrire le mieux possible tous les volets de notre politique dans leurs desseins respectifs : cela ne saurait qu'avoir des retombées bénéfiques tant sur le plan financier que pour la pérennité de nos efforts au bénéfice du public le plus large possible. Nous ne voulons pas d'une culture au sens étroit, trop institutionnelle ou "élitiste". Mais le "consommateur" culturel doit cependant apprendre dès le plus jeune âge que l'invention, la création, l'enseignement ou l'animation doivent être appréciés et que dans notre société cela se traduit aussi par une juste rémunération dont le marqueur est le prix. A nous de le rendre accessible à tous car cela est juste.
Quant au Grand Paris, même si l'on peut en discuter, il s'agit pour nous d'une chance unique de sauvegarder nos acquis et surtout notre avenir culturel. Pour cela il nous faudra cependant négocier au niveau de l'agglomération, ce qui implique d'y être représentés de façon crédible tant sur le plan politique que technique, l'expérience étant dans ce domaine un atout important. Pour toutes ces raisons, c'est avec une nouvelle municipalité sachant cultiver de bonnes relations aussi bien avec le Conseil Général qu'avec la Région, Paris Métropole ou l'Etat que Chaville sera, et de loin, la mieux placée.
En forme de conclusion nous voudrions ajouter les lettres D, E, F à notre abécédaire :
D comme Démultiplier en direction des cultures scientifiques, pratiques, populaires et techniques tout en conservant le haut niveau de qualité et de professionnalisme qu'ont atteint nos opérateurs. La montée en ligne du secteur associatif doit pouvoir nous y aider, dans le cadre d'une spécialisation souple de nos media.
E comme Eduquer tout au long de la vie. On n'a jamais fini d'apprendre. Apprendre, c'est se cultiver et c'est en se cultivant qu'on apprend : par le cœur et le corps autant que par l'esprit. Incarnons ce principe dans notre action culturelle, c'est un excellent investissement pour toutes les générations et il en vaut la dépense car il y a un retour fort.
F comme Faciliter, car de bons élus ne doivent pas s'immiscer tête baissée dans un domaine où, on l'oublie trop souvent, l'exigence de professionnalisme (qui n'est pas nécessairement synonyme de professionnalisation) est essentielle, le talent ne venant qu'après. Aussi la monture culturelle doit-elle être menée rênes longues et sans brutalité. Ce n'est qu'à l'obstacle que l'impulsion et la précision seront nécessaires. C'est ainsi que nous saurons gagner les concours complets qui nous attendent.
> Pensons aux enjeux...
Nous voulons dire enfin que l'importance de la contribution chavilloise et communautaire au concert culturel régional nous permet d'émettre notre petite opinion et la voici :
Continuer, dans un esprit étroitement technocratique et comptable, à considérer la "Culture" au sens étroit du terme comme un simple poste de dépenses à raboter comme les autres ; ne voir dans les intermittents du spectacle que des privilégiés parasites de la société ; considérer la francophonie comme une simple « exception » culturelle plus ou moins temporaire dans une Europe vaguement anglophone tournée vers une gestion financière et économique sans but social défini : tout cela nous paraît une vision à courte vue, conformiste, éloignée du principe même de fonctionnement de notre pays et particulièrement néfaste , non seulement à notre devenir politique de nation majeure mais même aux soi-disant intérêts économiques qu'elle prétend défendre. De plus, elle est antinomique des idéaux que nous défendons.
La culture française est un ensemble très large où la France, pour paraphraser le général de Gaulle, n'est pas seule, elle n'est pas seule.
C'est un fondement essentiel et diversifié non seulement de notre mode de vie mais aussi de notre économie et de l'influence de notre nation dans le concert mondial. Or c'est à notre influence durable, cette force douce -en anglais "soft power"- que nous devons une bonne partie de notre pain quotidien. Le mode de fonctionnement du Cinéma français, le soutien au spectacle vivant et à notre secteur littéraire, l'exportation de nos musées, le création d'une francophonie 2.0 et le régime des intermittents à condition d'être rigoureux dans son application aux grandes entreprises, l'appui à la production et à la formation artistique, tout cela en fait intégralement et justement partie, ce sont nos armes dans un juste, non des contraventions au pauvre univers de la Commission Européenne.
Or il faut réinvestir et ne pas se contenter de brader les restes de l'édifice culturel de notre passé ancien ou récent en raisonnant à l'envers sur la mondialisation et en confondant budgets et finance. La mondialisation n'induit pas le conformisme, elle oblige au contraire à braver la concurrence pour imposer son produit, ici sa culture. Elle impose donc le combat, non l’abandon ou le mauvais « bench-marking ». Paradoxalement, c'est elle, justement, qui exige que nous donnions des moyens à une politique culturelle dynamique et volontariste. En effet, comme une entreprise, un pays et a fortiori une Nation ou une vaste communauté culturelle comme la Francophonie, ne vit pas d'économiser les crayons et les gommes : elle vit par la marge qu'elle dégage sur un chiffre d'affaires en développement, ce qui n'est possible que grâce à un savoir-faire apportant aux "clients" (consommateurs ou contribuables) qu'il vaudrait mieux appeler "co-opérateurs" une valeur ajoutée. Or la culture française au sens large est une spécialité reconnue, vivante, appréciée et durable en même temps qu'une partie de nous-mêmes. C'est une force de frappe économique. Il faut donc y ré-investir massivement, comme d'autres pays le font déjà, sous peine de perdre ce que nous avons sans pour autant gagner ce que nous n'avons pas : n'appliquons pas à la politique des raisonnements administratifs...
L'Energie territoriale est aujourd'hui là pour contribuer en partenaire adulte à cette politique d'avenir où elle occupe déjà une place irremplaçable et faire vivre ce qui est à la fois un idéal, une condition d'existence et une haute tradition de notre nation. Etre porteurs de culture ou ne pas être, telle est aujourd'hui la question. Nous, nous voulons l'être, d'où le programme qu’à notre échelle nous proposons.
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* On vient d'en avoir une nouvelle preuve avec la tranformation non concertée d'un projet de centre ville équilibré, dynamique et écologique en une densification résidentielle stérile et massive. Le plus "drôle" c'est quand on entend les responsables de ce tour de passe-passe prétendre vouloir "combattre la ville-dortoir" : inconscience, ou hypocrisie ?
Rédigé le mercredi 19 mar 2014 dans Actualite, Agir pour Chaville, Art et Culture, Chaville, Cinéma, Culture, Ile-de-France, Intercommunalite, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Confrontée au projet de Grand Paris qui veut donner à une maxi-agglomération parisienne la maîtrise de l'urbanisme dans les villes environnantes, l'UMP se rebiffe en ressortant des cartons le dessein de...faire revivre la Seine-et-Oise, défunte sous le Général de Gaulle. Les présidents actuels du 92 et du 78 en discuteraient dès avant le retour de Pierre BEDIER qui ayant purgé sa peine, brûle de reprendre les manettes du Conseil Général versaillais. Le principe de cette idée est simple : le "92" mettrait à l'abri des convoitises parisiennes et dionysiennes sa grosse cassette (La Défense et ses investisseurs russes, arabes ou autres) grâce au "78" qui en échange pourrait en profiter un peu.
Comme souvent dans son histoire, notre Chaville se trouve à la limite entre l'attraction de la Lune (Versailles) et celle de Paris (le Soleil) et il lui faudra trouver le chemin idéal pour son développement. Il nous faudra garder la main sur notre propre avenir et non l'abandonner à une technocratie aux pratiques sociales très discutables, encore moins le brader à des intérêts privés comme actuellement. Mais faut aussi construire du lien et de l'emploi au bénéfice de tous, et faire jouer une juste solidarité avec tous nos compatriotes touchés par la misère. Or, contrairement à ce que voudrait une tendance actuelle, celle d'un jacobinisme administratif devenu consanguin au privé et qui ne rend jamais de comptes sur le service fait mais prétend régir ceux des autres, ce n'est pas en éloignant le citoyen du pouvoir qu'on fera progresser la Démocratie ni gagner la République. C'est donc une voie d'équilibre citoyen qu'il nous faut prendre.
Paris est notre amie, Versailles aussi. A nous de faire valoir notre situation particulière entre ces deux capitales historiques, dans l'intérêt de la ville. A nous surtout de penser, de raisonner, d'Agir sainement et non d'abdiquer notre bon sens pour écrire sous une dictée politique ou administrative, quelle qu'elle soit. Respectons notre Constitution, qui consacre la libre gouvernance des collectivités territoriales par elles-mêmes, sans sujétion de l'une à l'autre.
Le député et maire sortant de Chaville a, lui choisi un camp et depuis longtemps en habitant les Yvelines. Désormais menacé dans sa propre circonscription altoséquanaise, trouvera-il du côté de Houdan la rassurante immunité d'un poste de sénateur et de nouveaux et giboyeux terrains de chasse pour la promotion immobilière ? Nul ne le sait encore. Ce qui est sûr par contre c'est que pour rester parlementaire, il devrait s'il était réélu, repasser dès 2017 le fauteuil de maire à C.TAMPON-LAJARRIETTE, son fidèle compagnon d'aventures et adjoint chargé des affaires d'urbanisme et du SIGEIF. La condition, c'est bien sûr c'est de "vendre" cette intéressante perspective à des collègues suffisament dociles ou crédules, donc de constituer la liste en conséquence...
Telle est en tous cas la triste destinée du coucou, vivant d'expédients et condamné de saison en saison à abandonner les nids squattés. Le divorce avec les Hauts-de-Seine semble en tous cas consommé. Battu par 17 voix à 4 lors de l'investiture de la candidate sévrienne par l'UMP et au plus mal avec l'entourage de F. KOCIUSKO-MORIZET, J.J.GUILLET prive cette année de ses "vœux de député" son habituel public sévrien et quelques Chavillois ; cela lui épargnera au moins d'y rencontrer NKM. Ce qui est moins drôle, c'est qu'il démonte ainsi l'intercommunalité que nous avions pris tant de peines à mettre en place. C'est dommage.
Mais dans quelques semaines, il nous est possible à nous, Chavillois, de reprendre le bon chemin, celui du sens commun dans l'indépendance, de l'ambition dans la libre coopération avec nos voisins, gros ou petits, Lune et Soleil. Après tout le blason de Chaville porte en chef trois étoiles d'or : il mérite bien de retrouver de dignes défenseurs qui les fassent briller.
Rédigé le mercredi 22 jan 2014 dans Actualite, Chaville, Intercommunalite, Politique, Sevres | Lien permanent | Commentaires (0)
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Une hémorragie cérébrale a interdit à F.KOCIUSKO-MORIZET de se représenter. Selon Le Parisien son entourage s'indigne des manoeuvres de J-J. GUILLET, député et maire sortant de Chaville mais qui fut ancien 1er adjoint à Sèvres avant d'être candidat malheureux à Meudon. L'intéressé peine à imposer une autre candidate face à celle qu'avaient adoubé FKM et les siens. En attendant, les rues de CHAVILLE attendent...
...des élus qui s'intéressent davantage au quotidien du citoyen qu'à celui du Maire et à la tambouille électorale. Pour l'instant la "roulante" du député ambulant a donc pris la route de Sèvres, où il a sa permanence. Elle pourrait très bien y rester mais dans trois ans, quand le non-cumul des mandats devrait s'appliquer, elle prendra peut-être celle des Yvelines, plus près du domicile du "Masterchef", à Houdan (78)...
Rédigé le dimanche 08 déc 2013 dans Actualite, Chaville, Intercommunalite | Lien permanent | Commentaires (0)
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Voilà bien un thème d’actualité et qui risque de l’être de plus en plus. Quand on dirige une entreprise, une administration, une ville ou un pays, il faut se créer des marges de manœuvre. Pourquoi ? Tout simplement, pour pouvoir mettre en œuvre une politique c’est-à-dire une action réfléchie, motivée et pertinente, au service d’un objectif durable.
Quel sens ont en effet « business plans », programmes politiques ou politiques économiques bref tout ce qu’on peut promettre aux actionnaires, aux citoyens ou aux financeurs, si l’on ne s’est pas d’abord procuré les ressorts nécessaires pour faire vivre ses ambitions ? Il y a bien sûr les ressources financières qui sont aujourd’hui un réflexe voire une fixation mais il y en a d’autres qui se nomment imagination, potentiel humain ou géographique et dont on ne parle que peu ou pas alors qu’elles sont souvent décisives. Et quoiqu’on en pense souvent , le citoyen ou l’entreprise sont bien autre chose et bien davantage que de la substance fiscale, un "prêt à tondre" pour Bercy.
Une fois identifiées les marges de manœuvre, une seconde question se pose à leur sujet : à quoi bon les mettre en œuvre et manier la tondeuse si c’est pour en laisser le seul bénéfice à des intérêts privés ou corporatifs ou bien pérenniser certaines mauvaises gestions par exemple en protégeant certaines vaches sacrées quitte à reculer pour mieux sauter plus tard ?
Les marges de manœuvre, c’est en quelque sorte l’oxygène d’une politique. Encore faut-il le produire ou le reconstituer. Différentes solutions sont possibles, mais les méthodes restent les mêmes dans toute collectivité privée ou publique et plus généralement dans toute entreprise collective. Prenons donc l’exemple d’une collectivité publique, notre cher Chaville et cherchons à y identifier les marges de manœuvre et à en discuter l'emploi.
Nous pourrons ensuite – dans un prochain billet- élargir le sujet à ce qui se passe en France comme en Europe. Les marges de manœuvre nationales, en effet, fondent en ce moment au point de mettre en danger la construction européenne dans son ensemble. Nous tenterons de voir pourquoi. Et pour céder (un petit peu seulement) à la mode actuelle du vite dit, pas pris, nous nous laisserons aller à quelques billets d’humeur. Sur une note plus positive, notre proposition à propos du récent aménagement des rythmes scolaires. Un flash pour terminer sur l’international en commentant une prise de position – plus que justifiée à notre avis- du député des Français à l’étranger Pouria AMIRSHAHI à propos d’une velléité de création de filières totalement en anglais dans les universités françaises (projet de loi FLORASO)
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Rédigé le jeudi 11 avr 2013 dans Actualite, Chaville, Education et enseignement, Intercommunalite, Politique, Territoires | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Voici venus les mois d'hiver, porteurs chez nous d'obscurité et de froid mais aussi de leur antidote, la fête. Bien sûr, ce n'est pas la fête pour tout le monde. Huit millions de Français, dans le monde entier et pas seulement dans l'hexagone, vivent une vie difficile. Mais la fête n'est pas seulement là pour les gens heureux. Religieuse ou non, elle existe aussi pour faire oublier si possible le quotidien et stimuler la fraternité ou, pour les croyants, la charité.
Au plan politique, c'est aussi le moment d'énoncer un message d'espoir car il arrive toujours, ce temps dans l'histoire d'une nation où elle se ressource, divorce de l'argent-roi, du corporatisme et de la médiocrité et donne enfin leur chance à l'imagination, à la compétence et surtout à une citoyenneté positive. C'est le sens de notre note "Pour une France sans complexes" : ne nous obstinons pas à quérir ailleurs des solutions qu'il nous incombe de trouver.
Dans les Hauts-de-Seine et dans notre Chaville aussi l'espoir existe. En finir avec le verrouillage des mécanismes républicains dans le "92", y faire profiter tout le monde de la richesse commune. A Chaville, fermer une pauvre parenthèse immobilière voulue par des étrangers à la ville et reprendre le chemin d'une vraie cité conviviale. "Chaville aux Chavillois" n'est pas un texte de repli mais une revendication de bon sens.
En cette trêve des confiseurs souvenons-nous que la confiserie consommée avec modération est excellente. Mais ce n'est pas une raison pour se laisser confire soi-même dans la pensée unique et les habitudes intellectuelles. Régalons-nous donc des confiseries et confits mais gardons pour autant l'esprit vif comme le champagne et peut-être reposé après la fameuse trêve...des confiseurs. C'est l'idée de cette petite prose de fin d'année.
C'est aussi, tout simplement, l'occasion de vous souhaiter une très bonne année 2013.
Rédigé le jeudi 03 jan 2013 dans Actualite, Chaville, Economie et entreprises, Education et enseignement, Europe et International, Intercommunalite, Politique, Societe, Societe et vie pratique | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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En ce début d’année nous sacrifierons avec plaisir au rite fraternel des vœux.
Vœux pour la France bien sûr, aussi immodestes qu’ils soient.
Vœux pour notre bonne ville de Chaville qui elle aussi pourrait vouloir connaître de meilleurs millésimes, pour 2012 et après.
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Rédigé le mardi 17 jan 2012 dans Actualite, Chaville, Europe et International, Intercommunalite, Politique, Societe | Lien permanent | Commentaires (0)
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