Lire la suite "Ile-de-France : L'étrange politique culturelle des "REP"" »
Elections : Huit simples questions
Lire la suite "Elections : Huit simples questions" »
Lire la suite "Elections : Huit simples questions" »
Rédigé le jeudi 20 juin 2024 dans Chaville, Intercommunalite, Meudon, Sevres, Societe, Territoires | Lien permanent | Commentaires (0)
| |
Rédigé le jeudi 26 jan 2017 dans Agir pour Chaville, Culture, Education et enseignement, Ile-de-France, Intercommunalite, Politique, Territoires | Lien permanent | Commentaires (0)
| |
A l'occasion des Journées du Patrimoine, Meudon dévoilait une partie de son riche patrimoine, que l'appétit des promoteurs n'a pas encore compromis contrairement à d'autres où il finit de dévaster l'héritage du passé et joint à l'indifférence voire la complicité de certains élus, d'étouffer le patrimoine vivant sans espoir de retour. Nous avons choisi de visiter l'ensemble géré par les (Orphelins) Apprentis d'Auteuil, un magnifique ensemble de quelque 20 hectares surplombant le Val Fleury. Un petit tour à Chaville où la seule inititiative patrimoniale est dûe à la Paroisse qui offrait de découvrir en action le potentiel du nouvel orgue de Notre-Dame de Lourdes.
Lire la suite "Les Apprentis d'Auteuil, un phare du patrimoine meudonnais" »
Rédigé le mercredi 21 sep 2016 dans Actualite, Chaville, Education et enseignement, Meudon, Territoires | Lien permanent | Commentaires (0)
| |
En Bretagne comme ailleurs, nos campagnes regorgent d'installations d'élevage avicoles ou porcines abandonnées. Certaines sont en pleine campagne, d'autres sont aujourd'hui en site urbain constitué. Les démolir à grands frais (l'amiante y est souvent présent) pour cultiver à perte sur l'espace récupéré ? Beaucoup d'exploitants s'en soucient peu, ayant actuellement d'autres soucis, comme survivre ou assurer la pérennité de leur exploitation si par hasard leurs enfants veulent bien s'y engager...
En attendant que les Survivors de l'agriculture puissent vivre du bio "authentique", peut-être l'Etat pourrait-il s'intéresser à ce sujet concret, loin des fantasmes communautaires, lois événementielles ou autres. Il y aurait là un plan national à mettre en oeuvre, susceptible de créer des emplois et de permettre à la profession de reconstituer du capital pour diminuer son endettement et éviter la faillite ou de retrouver du fonds de roulement pour financer le passage au Bio...
Mais en-dehors du rendez-vous annuel du Salon de l'Agriculture et des aumônes de trésorerie quand les manifs prennent trop d'ampleur, le personnel politique qui courtisait autrefois les agriculteurs semble considérer aujourd'hui, par sectarisme ou par cynisme, que cette catégorie de Français n'est plus suffisamment "rentable" politiquement pour valoir la peine de s'en occuper. Sur les épreuves qu'elle endure, sur la problématique de fond des différentes filières, on fait donc l'impasse, au bénéfice probable du FN. Mais la profession est, elle aussi, un peu responsable de ce qui lui arrive.
Rédigé le mercredi 24 août 2016 dans Actualite, Economie et entreprises, Territoires | Lien permanent | Commentaires (3)
| |
Un coureur de fond et même un "trailman" , voilà ce qu'est Thierry BESANCON, responsable du groupe AGIR au Conseil Municipal de Chaville. Vous savez, les trails, ces courses en terrain accidenté de 80 km ou plus - soit plus que les 60 bornes qui séparent le domicile yvelinois de l'actuel député-maire et politicien professionnel de son bureau, en C6 avec chauffeur, bien sûr. Thierry, lui, bosse et prend le RER comme tout le monde. Nous le soutenons, car nous préférons, nous, la politique citoyenne, sportive et transparente dont il donne l'exemple. Nous lui donnons la parole à propos du projet immobilier (un de plus) "Maneyrol", dans cette note chavilloise. Bonne lecture et bravo aux associatifs du Collectif MANEYROL qui ont choisi de défendre leur quartier en même temps que le bon sens en matière de gestion municipale.
Rédigé le lundi 14 mar 2016 dans Agir pour Chaville, Chaville, Politique, Territoires | Lien permanent | Commentaires (0)
| |
Pourquoi faut-il une autre majorité au Conseil Général ?
Après-demain, le second tour des cantonales, fraîchement repeintes en départementales. Dans les Hauts de Seine, la politisation des élections locales, obstinément voulue il faut bien le dire par une partie de la gauche, continue à produire ses désastreux effets. Au lieu d’exercer un jugement critique sur la qualité de la gestion de leurs communes ou départements, les citoyens se voient ainsi invités à participer à un nouveau referendum sur la politique du gouvernement donc sans rapport immédiat avec le vrai sujet. Ce système a en effet pour logique de préférer un mauvais élu de la « bonne » couleur ou pas d’élu du tout à un bon élu de la « mauvaise » couleur ou indépendant ; or, que peut-on attendre du mélange des genres assaisonné de sectarisme ?
Il y a pourtant énormément à dire sur la gestion de certains Conseils Généraux dont celui des Hauts-de-Seine, précisément : concussion et népotisme, gaspillages évidents dans les compétences propres de la collectivité ou même en-dehors de celles-ci, "économies" réalisées sur le nécessaire des uns au profit du superflu des autres, absence de prospective et de réactivité sociale face à la crise, le tout assaisonné de dénis de démocratie comme à Puteaux ou à Levallois.. Rarement un département aussi riche en finances s'est-il montré aussi pauvre en morale politique. Et s’il faut encore une preuve que de même que la gauche n'a pas le monopole du coeur, la droite n'a pas, tant s'en faut, celui de la bonne et saine gestion, c’est bien à Nanterre où beaucoup de maires-abonnés viennent « faire leurs courses » qu’indiscutablement on la trouve. Or comment changer cette situation changerait-il en reprenant les mêmes, ou leurs seconds couteaux ?
Cette néfaste bipolarisation permet ainsi à certaines majorités plus ou moins cooptées de conseils généraux et à leurs saprophytes, généralement des élus de métier, d’éviter de répondre de leurs responsabilités. Au contraire, comme le prouve le cas des Balkany mais bien d'autres aussi, ils poursuivent tranquillement des activités parfois douteuses mais en tous cas juteuses en narguant ouvertement les décisions de la Justice et l’opinion. Ils se voient même encouragés à mal faire par le jeu des grandes marées politiques, comme à Nanterre ou à Chaville.
Rédigé le vendredi 27 mar 2015 dans Agir pour Chaville, Chaville, Ile-de-France, Politique, Territoires | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
| |
Premier essai
Avril 2003 : la municipalité de gauche chavilloise participe à la naissance d'ARC-DE-SEINE que la situation géographique de Chaville entre Ville d'Avray et Meudon permet de faciliter ( Sèvres n'était à l'époque pas membre de la communauté d'agglomération). Son maire devient 1er vice-président de ce qui va devenir, sous la présidence d'André SANTINI, l'une des communautés d'agglomération les plus riches de France : ARC-de-SEINE puis GPSO. Le bureau, avec 4 maires UDF et un divers gauche (Chaville), respecte la diversité politique et fait progresser les réalisations communautaires. Il n'y a pas de taxation communautaire sur les particuliers et les ressources financières sont d'origine exclusivement économique. Le dynamisme est là et la valeur ajoutée de l'"Agglo" pour Chaville existe : c'est un premier essai marqué par l'intercommunalité.
Mars 2008 : Aidée par le contexte politique local, l'UMP reprend Chaville en y parachutant son responsable départemental et député, le Non-chavillois J.J.GUILLET. A GPSO, le Bureau renforcé des maires de Sèvres et Boulogne ainsi que le Conseil Communautaire, sont désormais dans l'obédience UMP 92 alors que la sensibilité politique de la population du périmètre est partagée par moitié. En grossissant, la Communauté fait du gras ce qui, parallèlement à l'OPA politique, interdit tout examen critique des grandes masses de dépenses. Et voici qu'apparaît, dans l'un des EPCI les plus riches de France, la ligne de taxation sur les ménages, sous prétexte de la péréquation de solidarité régionale. A l'instar du jeu de rôles entre Commission et gouvernements européens, elle permet aux maires UMP de GPSO de se défausser vers celle-ci d'une gestion opérationelle et fiscale criticable comme celle de Chaville par exemple, en masquant leurs augmentations d'impôts. La qualité du service diminue, l'urbanisme perd en transparence. Quant au projet global, bien malin celui qui peut en apercevoir un à part le sempiternel "Bossez à La Défense, à Issy ou Boulogne, dormez à Chaville ou à Ville d'Avray et que les autres s'en aillent".
Retour sur image
Et voici qu'à peine 10 ans après l'arrivée du Grand Paris, cette fois-ci sous l'impulsion de la Gauche, on secoue à nouveau le cocotier. Voici 5 ans, Nicolas SARKOZY l'avait déjà fait et même si ses partisans semblent l'avoir oublié, c'était sous le même nom et avec des prérogatives comparables, en particulier à propos de l'urbanisme autour des gares qui se voyait retirer au pouvoir des communes. La propagande autour du "mille-feuille territorial" battait alors son plein. Elle a d'ailleurs laissé des traces, convaincant bien des gens que le coût de la démocratie territoriale serait largement à l'origine des maux de ce pays. C'est à notre avis une erreur même si la vigilance reste de mise sur toutes les gestions comme nous l'avons d'ailleurs souligné à propos de GPSO. Le Grand Paris à la "sauce Sarko" était aussi une machine de guerre dans la campagne des élections régionales, utilisée pour justifier -selon ses partisans- le brutal blocage du Schéma Directeur Régional (SDRIF) en cours de finalisation après des années de travail et de concertation. Bref, le Grand Paris était devenu grand bras de fer politique.
L'ouverture
Quoiqu'il en soit, le projet se voit maintenant relancé et il devrait provoquer la naissance le 1er janvier 2016 d'une vaste communauté, dotée de larges compétences et qui absorberait les EPCI (Etablissements Publics de Coopération Intercommunale) existants dont notre GPSO (Boulogne, Issy, Meudon, Vanves, Chaville, Sevres, Ville d'Avray, Marnes, Vélizy-Villacoublay). Il ne s'agit donc pas d'une "couche supplémentaire d'un mille-feuilles" comme l'affirment ses détracteurs mais d'un processus d'intégration de la construction politique francilienne, tel que l'ont vécu bien des métropoles mondiales avec lesquelles Paris est en concurrence. Là où l'on doit par contre être attentif c'est sur les compétences d'urbanisme et sur la philosophie financière de l'ensemble. Il faut en effet éviter que la pérennisation du modèle parisien du logement aidé puisse provoquer l'exportation de l'injustice du logement et un nouvel exil en banlieues de certaines populations peu désirées dans la capitale. Il faut aussi que la balance budgétaire globale ne vienne pas saper le principe même de la Décentralisation française et européenne. Plus les ressources financières et leur affectation sont territorialisées en effet, mieux -ou tout au moins, moins mal - elles sont gérées car les responsables peuvent plus facilement être identifiés et politiquement sanctionnés. Ceci n'exclut pas bien sûr le principe de dépenses régaliennes gérées de façon critique sur des critères politiques et non principalement administratifs. En d'autres termes, oui au Grand Paris s'il évite l'écueil d'un urbanisme inadapté servant un médiocre jacobinisme et choisit d'associer toute la Région à un bond en avant : une capitale peut avoir des banlieues, pas une métropole.
L'espoir
De fait, au delà des procès d'intention des deux bords, il n'y a aucune raison de penser qu'un concept porté par les deux grandes sensibilités nationales soit mauvais. Il importe par contre que les Chavillois, comme tous les Franciliens, y trouvent leur compte : pas davantage et si possible moins de pression fiscale mais surtout une meilleure qualité de vie et de travail, un progrès vers la transition énergétique et écologique, moins de zones d'emploi ultra concentrées et déshumanisées induisant des transports lourds et un stress qui engendre lui-même de nombreux coûts indirects. Tel n'était pas le cas du projet sarkozien, axé sur le développement de la Défense et de quelques pôles vers lesquels rayonnaient de lourdes infrastructures de transport cependant qu'on parquait les cadres les mieux argentés dans des environnements de type chavillois et qu'on expédiait les autres le plus loin possible au prix des transports en galère. Projet techno et peu humain, pas forcément pertinent pour autant dans la ligne du grand Business ainsi qu'en témoigne l'échec relatif de La Défense : les tours, c'est d'ores et déjà ringard et peu économique. Tel pourrait par contre être le nouveau Grand Paris, à condition que les élus délégués par l'ensemble des communes soient en responsabilité et évitent les conceptions injustes ou sans avenir.
Béton et propagande
Aujourd'hui, que voyons-nous à Chaville ? Depuis 6 ans c'est-à-dire bien avant que le Grand Paris ne prenne forme, notre ville est livrée sans défense à la promotion qui entasse des quantités de logements à 7 000 euros/m2 inaccessibles à la population locale et qui stérilise son développement économique et sa vie en général. Cette politique néfaste n'apporte rien aux habitants si ce n'est la perspective de payer davantage d'impôts pour accueillir...ceux qui en ont le moins besoin voire même leur subventionner indirectement le prix d'achat car tout cela se vend mal. Elle vise délibérement à déstructurer la ville au travers du prix de l'accession, de l'absence de logement aidé économique, du maintien d'une fiscalité élevée et de l'asphyxie des services publics pour la transformer en dortoir de luxe, docile aux ordres des politiciens UMPistes.
C'est le post-gaullisme immobilier, qui remplit certaines poches et coûte à tous les contribuables en lieu et place du développement économique et social pour tous, qui emprunte momentanément au contribuable pour créer de la richesse et des emplois pour l'avenir. Ainsi on marche sur la tête et lorsqu'on entend tenter justifier ce comportement par la Grande Menace du Grand Paris (dont le nom est inclus dans l'acronyme GPSO) cela devient inacceptable. L'UMP 92 n'a d'ailleurs pas attendu le Grand Paris pour mal gérer GPSO où elle est seule aux manettes. Le mythe prétentieux d'une droite "meilleure gestionnaire" s'effondre donc ainsi aux yeux de tout observateur impartial.
Quelles conclusions tirer de tout cela ?
1. La première est toute simple et chavilloise : il convient de mettre fin à la conduite des affaires par un non-chavillois aux bénéfices de non-chavillois car elle est nuisible à l'avenir de notre ville et susceptible de se perpétuer si le maire sortant parvenait à passer le témoin à son adjoint chargé de l'urbanisme. Il faut revenir au bon sens, seul capable d'Unir les dynamismes, non de "Rassembler" les égoïsmes . La liste 100% chavilloise formée par AGIR ENSEMBLE et CHAVILLE EN TRANSITION en offre la possibilité dès le 23 mars prochain.
2. La seconde mérite d'être développée. A l'initiative d'AGIR, la gauche avait inscrit Chaville dans l'intercommunalité et lui avait ainsi donné une nouvelle dimension. Sous réserve de ce qui précède, elle peut et doit maintenant reprendre l'initiative pour transformer l'essai. Comment ?
- Tout d'abord en reprenant la main à GPSO, en y restaurant une forme de contrôle démocratique grâce à un représentant au Bureau de l'agglo et à davantage d'élus d'opposition au sein du Conseil d'Agglomération : une Communauté monocolore s'endort et risque de graves dérives, elle se prépare mal à l'intégration dans un ensemble plus vaste et les communes membres en souffriraient.
- Ensuite, en y restaurant l'esprit de projet et une nécessaire rigueur dans une administration hypertrophiée afin de faire si possible disparaître ou tout au moins diminuer une fiscalité aberrante qui risque par ricochet de revenir vers les communes. Dans le contexte actuel ( menaces sur les Associations, fracture sociale qui s'élargit, nécessité d'un vrai développement économique, transition écologique à mettre en oeuvre, évolution vers le Grand Paris) l'imagination doit revenir au pouvoir.
- Enfin, en préparant l'intégration de Grand Paris Seine Ouest dans le Grand Paris tout court, il faut assurer la pérennité de nombreux équipements et actions indispensables à la population. Est-ce en vendant les emprises communales pour y construire massivement des dortoirs de luxe comme à Chaville et en éliminant délibérément du périmètre Centre Ville les activités économiques prévues par l'ancienne municipalité comme l'ont fait le maire sortant et son adjoint à l'urbanisme qu'on y arrivera ? Assurément non.
Gaillards !
C'est au contraire en dégageant de nouvelles ressources grâce au développement économique au travers d'un urbanisme adapté, de l'encouragement aux jeunes entreprises et de l'offre de services publics de qualité. C'est en négociant pied à pied avec nos partenaires du Grand Paris mais aussi de la Région avec lesquels la gauche chavilloise sera mieux placée pour dialoguer. C'est en reconstruisant méthodiquement des intercommunalités de projet réalisant de vraies économies d'échelle au sein du nouvel ensemble, que nous réussirons.
Le Grand Pari, nous sommes prêts à le relever et nous en sommes capables. Après tout n'est-ce pas à l'équipe qui a marqué l'essai de le transformer ? Où est le ballon, déjà ?
Rédigé le jeudi 06 fév 2014 dans Agir pour Chaville, Chaville, Politique, Territoires | Lien permanent | Commentaires (0)
| |
Huit semaines avant les élections municipales (les 23 et 30 mars prochains), la municipalité sortante met les bouchées doubles pour accélérer les programmes de promotion en vendant ce qui reste des emprises communales. Indépendemment du procédé peu républicain visant à "mécaniser" durablement la majorité suivante sur de très mauvaises décisions à l'instar des énormes et scandaleux "Partenariats Public Privé" signés par l'Administration de l'Etat pour un Nicolas SARKOZY sur le départ, penchons-nous sur le fond.
Tout cela se fait sans aucun plan d’ensemble fondé sur les besoins réels. On déménage à grands frais le service public au petit bonheur d'« opérations » qui n'apportent rien à la ville. A d'autres, peut-être...Dernière en date et loufoque conséquence : déménager le service Jeunesse et Sports, adéquatement situé entre le Collège et Saint-Thomas, vers l’ancienne Académie des Beaux-Arts, à refaire pour 1,3 M€ (affichés au départ) en y ajoutant le centre de loisirs qu’on avait biffé du Centre-Ville il y a 5 ans. A noter que ce futur nouveau centre serait à 300 m de l’ancien centre des Petits-Bois, démoli au bénéfice de la Franco-Suisse et de ses appart' de luxe.
Additionnons maintenant ce genre de travaux, les surfacturations (en Centre Ville, la MJC réduite coûte maintenant autant que l’ensemble : MJC + Centre de loisirs initialement prévu), les manque à gagner ou doublons de dépenses sur opérations entamées ainsi que les réfactions sur prix d’achat accordées au travers de l'aménageur aux promoteurs qui peinent à vendre leur surproduction de prestations inadaptées : on arrive facilement à un total à 2 chiffres, en millions d'€ bien sûr, en gaspillage de ressources fiscales. Quel gâchis !
Comment expliquer autrement que malgré la liquidation de réserves foncières considérables la municipalité ne diminue pas les impôts, au contraire, ni ne résout les problèmes de logement des Chavillois qui font l’objet de la royale indifférence du maire, pas plus qu'elle n'améliore la qualité générale du service public ou de l'environnement urbain. Cela rappelle le fameux « Ils n’ont pas de pain ? Qu’ils mangent de la brioche ! » à actualiser en « Ils n’ont pas de logement ? Qu’ils en achètent à 7 000 euros le m2 ou se fassent attribuer un logement PLS. Sinon, qu'ils dégagent ! ».
Quelles sont les raisons véritables derrière ce gâchis organisé ? Chacun peut avoir sa petite idée là-dessus. Ce qui est certain par contre, c’est que les citoyens de tout bord aimant leur ville ne sauraient se rendre complices d’une telle politique et que ce n'est pas à un Non-Chavillois, fût-il de droite et maire de surcroît, de chasser des Chavillois d'une commune qu'il semble juger trop populaire. Les 23 et 30 mars prochains, ils auront d'ailleurs l’opportunité de le manifester, les élections municipales étant là pour cela.
Alors, plutôt que "Liquidation exceptionnelle", sans doute vaut-il mieux déjà afficher :
Rédigé le vendredi 24 jan 2014 dans Actualite, Chaville, Territoires | Lien permanent | Commentaires (0)
| |
Déjà membre du trio adjudicataire d'un "centre ville" revisité par la promotion, AKERYS s'est vu aussi confier au travers d'un contrat de promotion (!) la maîtrise d'œuvre du dernier chantier MJC, encaissant pour cette seule prestation la bagatelle d'1 million d'euros (pour un budget travaux d'environ 6 millions pour l'instant). Il semble maintenant qu'une opération prévue au bas de l'avenue de la Résistance sur des terrains en partie publics lui soit déjà réservée. Il va ainsi pouvoir se refaire après la mévente des appartements du "centre ville". Ses collègues ont déjà obtenu une renégociation à la baisse ( pour plusieurs millions d'euros) du prix des terrains déjà achetés à la ville. Quant au contribuable, il découvre grâce au maire sortant un nouveau métier, assureur à prime zéro des risques commerciaux de la promotion privée. L'UMP, mieux que l'UAP!
Rédigé le mardi 03 déc 2013 dans Actualite, Agir pour Chaville, Chaville, Territoires | Lien permanent | Commentaires (0)
| |
Les commentaires récents